Le blog de chroniques-soumise
Le lendemain matin, 08h pile mon réveil sonna. Sans perdre une seconde, je me levai, je devais perdre cette fâcheuse habitude de trainée au lit le matin, je ne pouvais plus me le permettre. Bien que sur un canapé, et sans couverture, ma nuit fut plutôt agréable, je me sentais requinquer.
Ayant appris toutes les règles du contrat à la lettre, je savais exactement ce que je devais faire. M’habiller si Maître Claude m’avait imposé une tenue, sinon restée nue, je restai donc nue. La deuxième étape, se brosser les dents, Maître Claude ne tolère en aucun cas les dents jaunes, et encore moins la mauvaise haleine. Il avait laissé une brosse à dent et du dentifrice dans la cuisine. Ni une ni deux, mes dents étaient parfaites.
La prochaine étape, était de préparer son petit déjeuner. Epreuve plutôt compliquée pour une première fois. Qu’aimez-t-il ? Qu’avez t’il à disposition dans la cuisine ? Pas grand-chose à première vue… Pas de pain frai ni viennoiserie, j’allais devoir improvisée.
Avant tout, pour me familiariser avec la cuisine, je décidai d’ouvrir tous les tiroirs, comme ça, je serais où tel ou tel choses se rangent ! Il était bien équipé, ça me changeait de ma petite cuisine de logement étudiant !
Bref, avec ce que j’avais sous la main, je ne pouvais malheuresement pas faire dans l’original. Je sorti plusieurs tartines de pain de mie Harris, servie un gros bol de café, un bon verre de jus d’orange, et prépara plusieurs confitures que j’avais trouvée dans le frigo. Je disposai le tout sur un plateau que j’avais trouvé en fouillant, et il était presque 09h !
Je montai donc au premier étage, et me dirigeai vers la chambre de mon Maître. 09h pile, je toc à sa porte. J’avais pour ordre d’attendre son autorisation pour entrer. Après quelques seconde j’entendis un « Oui soumise, tu peux entrer. »
J’étais un peu stressée, c’était la première fois que je suivais ce déroulement clairement expliquée dans le contrat, je voulais tout bien faire !
« Bonjour Maître, voici votre petit déjeuner. » Il me salua lui aussi, et je déposai délicatement le plateau sur son lit. Il entama son petit déjeuner, il me dit que ce n’était pas fameux, mais que ce n’était pas de ma faute, qu’il n’avait plus grand-chose pour petit déjeuner, et qu’il avait complétement oublié de se réapprovisionner.
En même temps qu’il petit déjeuner, je lui demandé si il avait besoin d’être soulagé, il me répondit que non, et que je devais attendre qu’il finisse de petit déjeuner en léchant ces pieds. Je m’allongeai donc perpendiculairement à lui, ma tête au niveau de ces pieds. Qu’est-ce que son matelas était confortable ! J’espérais que j’allais parfois dormir dedans avec lui !
Me voilà la langue sur ces pieds nus. Ils étaient assez grands et large, mais heureusement, très bien entretenu ! Je léchai la plante de ces pieds, passé sur les orteils, le devant… Dire qu’avant les pieds c’était la partie du corps qui me répugnait chez les hommes, là je prenais énormément de plaisir à faire cela. Que c’était bon de me sentir inférieur à lui, être là à ces pieds, pendant qu’il petit déjeune ce que je lui ai préparé !
Après dix bonnes minutes de léchage de pieds, il eut fini. Il me mit un petit coup de pied au visage pour me faire comprendre que je devais me redresser et le débarrasser. Je pris donc le plateau, et lui demanda si je pouvais faire quelque chose pour lui. Il me répondit que non, que je pouvais aller petit déjeuner une tartine de pain de mie et un verre d’eau, et de remonter ensuite faire son lit, et l’attendre ensuite à genoux à coté pendant qu’il se prépare.
Après avoir petit déjeuner, et fait son lit, j’attendais donc, toujours nue, et à genoux au pied de son lit. Je dois avouer que ça faisait assez bizarre d’être nue comme cela, j’étais une fille plutôt pudique avant, mais je me sentais en confiance avec lui.
Après environ cinq minutes d’attente dans cette position, il revint dans sa chambre, prêt et habillé. Il eut le sourire aux lèvres en me voyant comme cela. Un sourire de satisfaction. Puis il m’invita à le suivre, à quatre pattes dans le salon.
Arrivée là-bas, il s’installa dans son canapé, et m’invita tout d’abord à remettra la fameuse table de salon à sa place sur le tapis. Je le fis, avec tout autant de difficulté que la première fois, cela le faisait rire. Je trouvais cela agréable d’être humiliée sous ces moqueries.
M’enfin, une fois la table à sa place, il m’ordonna de me mettre à genou devant lui, ce que je fis bien sûr. « Soumise, c’est très bien, tu m’as l’air très appliquée, tu es agréable physiquement, et tu as l’air très motivée. »
-« Merci beaucoup Maître »
-« De plus, j’ai pris pas mal de plaisir hier soir, cependant, il y a quand même plusieurs choses à corriger »
-« Oui Maître, je vous écoute »
-« Tout d’abord, sache que c’est très bien que toi aussi tu prennes du plaisir quand je te baise, mais tu gueules beaucoup trop ! J’aime que ma soumise ferme sa gueule, et qu’elle jouissance en silence. »
-« D’accord Maître, excusez moi, je ferais attention pour les prochaines fois. »
C’est vrai que je crie beaucoup quand je jouie, j’ai un peu de mal à me retenir, je vais devoir faire attention !
-« Ensuite, peux-tu me dire pourquoi tu n’as pas poursuivi la gorge profonde que tu as entamée hier ? »
-« Car je n’ai pas beaucoup d’expérience la dedans, et j’avais peur que cela me fasse vomir »
-« Et alors ? Si cela te fait vomir, est ce grave ? »
-« Je trouve oui Maître, je ne voudrais pas vomir sur vous, sur votre beau sexe, ou même par terre. »
-« Où est le problème ? Toute façon c’est toi qui nettoieras ! Et toute façon si tu veux devenir une experte en gorge profonde, il y aura bien des moments où tu vomiras chienne ! »
-« D’accord Maître, mais je sais que j’aurais du mal au début »
Sur ces mots, et comme par une grande pulsion, Maître Claude se déshabilla et dit « Tu n’auras pas de mal, tu vas voir, une fois, et tu y seras habituée ! »
J’étais assez paniquée, j’allais vomir avec sa queue, mais j’étais à la fois excitée, j’allais enfin pratiquer complétement la gorge profonde ! Pour une fille comme moi qui adore sucer, c’était très très excitant !!
Le voilà complétement nu, et debout sur le carrelage. « Viens chienne, viens t’occuper de ton Maître ». Ni une ni deux,
j’étais à genou, sa queue encore mole dans la bouche. Je la léchai en jouant avec ces couilles, et il ne fut pas
longtemps pour qu’elle soit bien dure. Je commençai par le sucer normalement, son gros gland, sa longue tige, il aimait cela, mais il ne fallut pas longtemps pour qu’il m’ordonne d’entamer la gorge profonde. J’essayai d’enfoncer son sexe tout au fond de ma gorge, mais à peine je senti son sexe pénétrer dans ma gorge, j’eu envie de vomir, et je me retirai comme par réflexe.
Ça lui déplut, et il saisit ma tête de ces mains, et l’enfonça sur sa queue tendu. J’avais sa queue entièrement dans ma bouche, bien au fond de ma gorge. Vous vous doutez bien que je vomi dans la seconde. Ca coulait sur mon corps, au sol, mais ça ne l’a pas refroidis, bien au contraire, il entama de profond vas et viens, il me baisé la bouche en gorge profonde. Même si le fait de vomir, et d’avoir ce goût ignoble de vomi dans la bouche me dégoutée, j’étais quand même très excitée, enfin je pratiquais la gorge profonde, c’était très agréable de sentir ce gros membre dans ma gorge. Et j’avais vraiment hâte de pouvoir faire cela sans vomir !
Il me baisa la bouche comme cela assez longtemps, j’en revomissé parfois, mais je prenais du plaisir. Au bout d’une bonne quinzaine de minutes, et sans même me prévenir, je le sentis se contracter, et il éjacula au fond de ma gorge.
J’essayai d’avaler tant bien que mal, mais quand il sorti son sexe, je revomi la total de plus belle !
Ça ne le dérangeai pas du tout, et j’appris même par la suite que ça excité un bon nombre d’hommes de voir une fille vomir, empaler sur leur queue.
J’avais plein de vomi sur le corps, et le sol était souillé. Il me dit « Grosse dégelasse, regarde ma queue, elle est encore sale de ton vomi, viens me nettoyer ! ». Je me précipitai sur sa queue, et le suça pour nettoyer ceci, ainsi que le sperme qui restait. Malgré mes aprioris, se fut plutôt agréable !
(Ce n’est pas une photo personnelle, c’est juste pour que ce qui aime cette pratique puisse voir, ou ce qui ne connaissait pas puisse s’y faire une image.)
« Très bonne chienne, c’est très bien soumise, je suis fier de toi, tu vois c’est très bien de repousser tes tabous et de t’abandonner complétement, n’est-ce pas ? »
« Effectivement, c’était super, je vous remercie Maître »
« Aller, nettoie moi ce carrelage, tu trouveras de quoi nettoyait dans la cuisine, je te laverais après ! »
« Merci Maître »
Il alluma la télévision, et se posa en ce dimanche matin devant Téléfoot, comme si de rien n’était. J’allai chercher dans la cuisine un saut et une serpillère pour nettoyer. Mon corps était plein de vomi, et j’empester, j’avais qu’une hâte, qu’il me lave ! Je me dépêchai donc de nettoyer le sol que j’avais souillé, ainsi que le chemin pour aller du salon à la cuisine que j’avais aussi sali, à cause du vomi sur mon corps qui tombait.
Bref, une fois le sol totalement propre, Maître Claude me dit : « Je vais te nettoyer, sais-tu qu’il y a plein de façon de nettoyer une soumise ? »
« Oui Maître, je le sais, vous en préciser certaines dans le contrat. »
« Très bien chienne, je vois que tu l’as étudié. Cite moi quelques exemples, que je choisisse. »
« Il y a déjà la douche normal Maître, il y a aussi la douche à l’eau froide, la douche à l’eau très chaude, le bain donné de façon humiliante, le lavage au jet d’eau dehors… »
« Le lavage au jet d’eau dehors ! Ma façon préféré de laver ma soumise ! Malheureusement, il fait un peu trop froid en janvier pour cela, je ne voudrais pas que tu tombes malade chienne ! Je vais te laver dans la douche, aller suis moi ! »
Il monta, me fis traverser sa magnifique chambre, et nous nous retrouvâmes dans sa belle et grande salle de bain. Sa baignoire et son jacuzzi donné envie ! Mais il m’ordonna de me mettre dans la cabine de douche, à genou, ce que je fis directement.
Il était toujours nu, et avant de me doucher, il voulait encore me salir un peu plus. Il approcha son sexe de mon visage, et me demanda si j’avais déjà pratiqué l’urophilie. Je répondis que non, il me dit donc que pour une première, j’allais avaler que quelques goûtes à la fin.
A peine il eut fini sa phrase, qu’il commença à uriner, il visa d’abord sur mes seins, puis remonta sur mon visage et mes cheveux. C’était très agréable à ma grande surprise ! Sentir le jet chaud arriver sur moi, et ensuite couler le long de mon corps… ! Il me dit ensuite d’ouvrir la bouche, ce que je fis bien sûr, et urina le reste dedans.
Pour être franche, avec mes aprioris, je pensais qu’en avalant cela, j’allais revomir un coup, mais au contraire, révélation !! C’était délicieux !! Wahou j’adorais cela (et je ne pèse vraiment pas mes mots !!). Ce breuvage chaud, un vrai délice !! (Et je ne peux d’ailleurs que conseiller a ce qui n’ont jamais testé ou qui hésite a testé de franchir le pas, c’est vraiment super et délicieux !!)
« Comment trouves tu celas alors soumise ? »
« Franchement, délicieux, j’adore Maître ! »
« Dis-tu cela pour me faire plaisir, ou le penses-tu vraiment ? »
« Non, vraiment Maître, j’adore ! »
« Très bien soumise alors, lève-toi maintenant, je vais te doucher ! »
Je me levai, Maitre Claude pris la poire de douche, et alluma l’eau. Il régla la pression de l’eau au maximum, et sans même régler la température, il projeta l’eau sur moi. C’était glacé ! Ça n’avait pas l’air de le déranger, au contraire, un beau sourire pervers se former sur son visage.
Je me frottais malgré cela, pour nettoyer mon corps souillée de vomi et d’urine. Après quelques minutes d’eau glacé, Maître Claude régla (enfin) la température, et me fis profiter de la fin de ma douche à température tempéré. Il s’excusa aussi de ne pouvoir ni me savonner, ni laver les cheveux, mais il n’avait aucun produit esthétique pour femme. Ce n’était pas grave, j’avais quand même cette sensation d’être propre ! Il me fit sortir, et me donna une serviette pour que je me sèche.
Puis il me dit de descendre préparer le déjeuner une fois totalement sèche.
Ce que je fis donc, il voulait frites cuisse de poulet, et m’avait prévenu de lui servir une grande assiette. Je préparai donc tout cela, mis la table… et le servit.
« Merci chienne, maintenant mes toi à quatre pattes par terre, je vais te nourrir comme mon animal de compagnie ».
Et donc, tout en mangeant, il me balança des frites et de petit morceau de poulet, parfois sur mon visage, parfois par terre. C’était tellement humiliant de manger comme cela, et… j’aimais cela !
Une fois nourrit, je dû nettoyer le sol à cause du gras laissé par les frites et faire la vaisselle. Maître Claude me dit ensuite que je devais m’habiller, car nous allons passer chez moi récupérer mes affaires. Malheureusement, je n’avais aucun habit de rechange, mon string d’hier était souillée, mes bas abimée, je ne portais que ma mini-jupe, mon débardeur et mes talons ! Une tenue d’été, alors qu’il faisait à peine 5° dehors ! Mais ce n’était que peu important, puisqu’on aller récupérer toutes mes affaires ! Maître Claude prit ses clés, et me dit de le suivre…
A suivre…