Chronique

Lundi 21 mars 1 21 /03 /Mars 17:42

Le lendemain matin, 08h pile mon réveil sonna. Sans perdre une seconde, je me levai, je devais perdre cette fâcheuse habitude de trainée au lit le matin, je ne pouvais plus me le permettre. Bien que sur un canapé, et sans couverture, ma nuit fut plutôt agréable, je me sentais requinquer.

 

Ayant appris toutes les règles du contrat à la lettre, je savais exactement ce que je devais faire. M’habiller si Maître Claude m’avait imposé une tenue, sinon restée nue, je restai donc nue. La deuxième étape, se brosser les dents, Maître Claude ne tolère en aucun cas les dents jaunes, et encore moins la mauvaise haleine. Il avait laissé une brosse à dent et du dentifrice dans la cuisine. Ni une ni deux, mes dents étaient parfaites.

 

La prochaine étape, était de préparer son petit déjeuner. Epreuve plutôt compliquée pour une première fois. Qu’aimez-t-il ? Qu’avez t’il à disposition dans la cuisine ? Pas grand-chose à première vue… Pas de pain frai ni viennoiserie, j’allais devoir improvisée.

 

Avant tout, pour me familiariser avec la cuisine, je décidai d’ouvrir tous les tiroirs, comme ça, je serais où tel ou tel choses se rangent ! Il était bien équipé, ça me changeait de ma petite cuisine de logement étudiant !

 

Bref, avec ce que j’avais sous la main, je ne pouvais malheuresement pas faire dans l’original. Je sorti plusieurs tartines de pain de mie Harris, servie un gros bol de café, un bon verre de jus d’orange, et prépara plusieurs confitures que j’avais trouvée dans le frigo. Je disposai le tout sur un plateau que j’avais trouvé en fouillant, et il était presque 09h !

 

Je montai donc au premier étage, et me dirigeai vers la chambre de mon Maître. 09h pile, je toc à sa porte. J’avais pour ordre d’attendre son autorisation pour entrer. Après quelques seconde j’entendis un « Oui soumise, tu peux entrer. »

 

J’étais un peu stressée, c’était la première fois que je suivais ce déroulement clairement expliquée dans le contrat, je voulais tout bien faire !

 

« Bonjour Maître, voici votre petit déjeuner. » Il me salua lui aussi, et je déposai délicatement le plateau sur son lit. Il entama son petit déjeuner, il me dit que ce n’était pas fameux, mais que ce n’était pas de ma faute, qu’il n’avait plus grand-chose pour petit déjeuner, et qu’il avait complétement oublié de se réapprovisionner.

 

En même temps qu’il petit déjeuner, je lui demandé si il avait besoin d’être soulagé, il me répondit que non, et que je devais attendre qu’il finisse de petit déjeuner en léchant ces pieds. Je m’allongeai donc perpendiculairement à lui, ma tête au niveau de ces pieds. Qu’est-ce que son matelas était confortable ! J’espérais que j’allais parfois dormir dedans avec lui !

 

Me voilà la langue sur ces pieds nus. Ils étaient assez grands et large, mais heureusement, très bien entretenu ! Je léchai la plante de ces pieds, passé sur les orteils, le devant… Dire qu’avant les pieds c’était la partie du corps qui me répugnait chez les hommes, là je prenais énormément de plaisir à faire cela. Que c’était bon de me sentir inférieur à lui, être là à ces pieds, pendant qu’il petit déjeune ce que je lui ai préparé !

 

Après dix bonnes minutes de léchage de pieds, il eut fini. Il me mit un petit coup de pied au visage pour me faire comprendre que je devais me redresser et le débarrasser. Je pris donc le plateau, et lui demanda si je pouvais faire quelque chose pour lui. Il me répondit que non, que je pouvais aller petit déjeuner une tartine de pain de mie et un verre d’eau, et de remonter ensuite faire son lit, et l’attendre ensuite à genoux à coté pendant qu’il se prépare.

 

Après avoir petit déjeuner, et fait son lit, j’attendais donc, toujours nue, et à genoux au pied de son lit. Je dois avouer que ça faisait assez bizarre d’être nue comme cela, j’étais une fille plutôt pudique avant, mais je me sentais en confiance avec lui.

 

Après environ cinq minutes d’attente dans cette position, il revint dans sa chambre, prêt et habillé. Il eut le sourire aux lèvres en me voyant comme cela. Un sourire de satisfaction. Puis il m’invita à le suivre, à quatre pattes dans le salon.

 

Arrivée là-bas, il s’installa dans son canapé, et m’invita tout d’abord à remettra la fameuse table de salon à sa place sur le tapis. Je le fis, avec tout autant de difficulté que la première fois, cela le faisait rire. Je trouvais cela agréable d’être humiliée sous ces moqueries.

 

M’enfin, une fois la table à sa place, il m’ordonna de me mettre à genou devant lui, ce que je fis bien sûr. « Soumise, c’est très bien, tu m’as l’air très appliquée, tu es agréable physiquement, et tu as l’air très motivée. »

-« Merci beaucoup Maître »

-« De plus, j’ai pris pas mal de plaisir hier soir, cependant, il y a quand même plusieurs choses à corriger »

-« Oui Maître, je vous écoute »

-« Tout d’abord, sache que c’est très bien que toi aussi tu prennes du plaisir quand je te baise, mais tu gueules beaucoup trop ! J’aime que ma soumise ferme sa gueule, et qu’elle jouissance en silence. »

-« D’accord Maître, excusez moi, je ferais attention pour les prochaines fois. »

C’est vrai que je crie beaucoup quand je jouie, j’ai un peu de mal à me retenir, je vais devoir faire attention !

-« Ensuite, peux-tu me dire pourquoi tu n’as pas poursuivi la gorge profonde que tu as entamée hier ? »

-« Car je n’ai pas beaucoup d’expérience la dedans, et j’avais peur que cela me fasse vomir »

-« Et alors ? Si cela te fait vomir, est ce grave ? »

-« Je trouve oui Maître, je ne voudrais pas vomir sur vous, sur votre beau sexe, ou même par terre. »

-« Où est le problème ? Toute façon c’est toi qui nettoieras ! Et toute façon si tu veux devenir une experte en gorge profonde, il y aura bien des moments où tu vomiras chienne ! »

-« D’accord Maître, mais je sais que j’aurais du mal au début »

 

Sur ces mots, et comme par une grande pulsion, Maître Claude se déshabilla et dit « Tu n’auras pas de mal, tu vas voir, une fois, et tu y seras habituée ! »

 

J’étais assez paniquée, j’allais vomir avec sa queue, mais j’étais à la fois excitée, j’allais enfin pratiquer complétement la gorge profonde ! Pour une fille comme moi qui adore sucer, c’était très très excitant !!

 

Le voilà complétement nu, et debout sur le carrelage. « Viens chienne, viens t’occuper de ton Maître ». Ni une ni deux,

j’étais à genou, sa queue encore mole dans la bouche. Je la léchai en jouant avec ces couilles, et il ne fut pas

longtemps pour qu’elle soit bien dure. Je commençai par le sucer normalement, son gros gland, sa longue tige, il aimait cela, mais il ne fallut pas longtemps pour qu’il m’ordonne d’entamer la gorge profonde. J’essayai d’enfoncer son sexe tout au fond de ma gorge, mais à peine je senti son sexe pénétrer dans ma gorge, j’eu envie de vomir, et je me retirai comme par réflexe.

 

Ça lui déplut, et il saisit ma tête de ces mains, et l’enfonça sur sa queue tendu. J’avais sa queue entièrement dans ma bouche, bien au fond de ma gorge. Vous vous doutez bien que je vomi dans la seconde. Ca coulait sur mon corps, au sol, mais ça ne l’a pas refroidis, bien au contraire, il entama de profond vas et viens, il me baisé la bouche en gorge profonde. Même si le fait de vomir, et d’avoir ce goût ignoble de vomi dans la bouche me dégoutée, j’étais quand même très excitée, enfin je pratiquais la gorge profonde, c’était très agréable de sentir ce gros membre dans ma gorge. Et j’avais vraiment hâte de pouvoir faire cela sans vomir !

 

Il me baisa la bouche comme cela assez longtemps, j’en revomissé parfois, mais je prenais du plaisir. Au bout d’une bonne quinzaine de minutes, et sans même me prévenir, je le sentis se contracter, et il éjacula au fond de ma gorge.

 

J’essayai d’avaler tant bien que mal, mais quand il sorti son sexe, je revomi la total de plus belle !

 

Ça ne le dérangeai pas du tout, et j’appris même par la suite que ça excité un bon nombre d’hommes de voir une fille vomir, empaler sur leur queue.

 

J’avais plein de vomi sur le corps, et le sol était souillé. Il me dit « Grosse dégelasse, regarde ma queue, elle est encore sale de ton vomi, viens me nettoyer ! ». Je me précipitai sur sa queue, et le suça pour nettoyer ceci, ainsi que le sperme qui restait. Malgré mes aprioris, se fut plutôt agréable !

(Ce n’est pas une photo personnelle, c’est juste pour que ce qui aime cette pratique puisse voir, ou ce qui ne connaissait pas puisse s’y faire une image.)

 

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« Très bonne chienne, c’est très bien soumise, je suis fier de toi, tu vois c’est très bien de repousser tes tabous et de t’abandonner complétement, n’est-ce pas ? »

« Effectivement, c’était super, je vous remercie Maître »

« Aller, nettoie moi ce carrelage, tu trouveras de quoi nettoyait dans la cuisine, je te laverais après ! »

« Merci Maître »

 

Il alluma la télévision, et se posa en ce dimanche matin devant Téléfoot, comme si de rien n’était. J’allai chercher dans la cuisine un saut et une serpillère pour nettoyer. Mon corps était plein de vomi, et j’empester, j’avais qu’une hâte, qu’il me lave ! Je me dépêchai donc de nettoyer le sol que j’avais souillé, ainsi que le chemin pour aller du salon à la cuisine que j’avais aussi sali, à cause du vomi sur mon corps qui tombait.

 

Bref, une fois le sol totalement propre, Maître Claude me dit : « Je vais te nettoyer, sais-tu qu’il y a plein de façon de nettoyer une soumise ? »

« Oui Maître, je le sais, vous en préciser certaines dans le contrat. »

« Très bien chienne, je vois que tu l’as étudié. Cite moi quelques exemples, que je choisisse. »

« Il y a déjà la douche normal Maître, il y a aussi la douche à l’eau froide, la douche à l’eau très chaude, le bain donné de façon humiliante, le lavage au jet d’eau dehors… »

« Le lavage au jet d’eau dehors ! Ma façon préféré de laver ma soumise ! Malheureusement, il fait un peu trop froid en janvier pour cela, je ne voudrais pas que tu tombes malade chienne ! Je vais te laver dans la douche, aller suis moi ! »

Il monta, me fis traverser sa magnifique chambre, et nous nous retrouvâmes dans sa belle et grande salle de bain. Sa baignoire et son jacuzzi donné envie ! Mais il m’ordonna de me mettre dans la cabine de douche, à genou, ce que je fis directement.

 

Il était toujours nu, et avant de me doucher, il voulait encore me salir un peu plus. Il approcha son sexe de mon visage, et me demanda si j’avais déjà pratiqué l’urophilie. Je répondis que non, il me dit donc que pour une première, j’allais avaler que quelques goûtes à la fin.

 

A peine il eut fini sa phrase, qu’il commença à uriner, il visa d’abord sur mes seins, puis remonta sur mon visage et mes cheveux. C’était très agréable à ma grande surprise ! Sentir le jet chaud arriver sur moi, et ensuite couler le long de mon corps… ! Il me dit ensuite d’ouvrir la bouche, ce que je fis bien sûr, et urina le reste dedans.

 

Pour être franche, avec mes aprioris, je pensais qu’en avalant cela, j’allais revomir un coup, mais au contraire, révélation !! C’était délicieux !! Wahou j’adorais cela (et je ne pèse vraiment pas mes mots !!). Ce breuvage chaud, un vrai délice !! (Et je ne peux d’ailleurs que conseiller a ce qui n’ont jamais testé ou qui hésite a testé de franchir le pas, c’est vraiment super et délicieux !!)

« Comment trouves tu celas alors soumise ? »

« Franchement, délicieux, j’adore Maître ! »

« Dis-tu cela pour me faire plaisir, ou le penses-tu vraiment ? »

« Non, vraiment Maître, j’adore ! »

« Très bien soumise alors, lève-toi maintenant, je vais te doucher ! »

 

Je me levai, Maitre Claude pris la poire de douche, et alluma l’eau. Il régla la pression de l’eau au maximum, et sans même régler la température, il projeta l’eau sur moi. C’était glacé ! Ça n’avait pas l’air de le déranger, au contraire, un beau sourire pervers se former sur son visage.

 

Je me frottais malgré cela, pour nettoyer mon corps souillée de vomi et d’urine. Après quelques minutes d’eau glacé, Maître Claude régla (enfin) la température, et me fis profiter de la fin de ma douche à température tempéré. Il s’excusa aussi de ne pouvoir ni me savonner, ni laver les cheveux, mais il n’avait aucun produit esthétique pour femme. Ce n’était pas grave, j’avais quand même cette sensation d’être propre ! Il me fit sortir, et me donna une serviette pour que je me sèche.

 

Puis il me dit de descendre préparer le déjeuner une fois totalement sèche.

 

Ce que je fis donc, il voulait frites cuisse de poulet, et m’avait prévenu de lui servir une grande assiette. Je préparai donc tout cela, mis la table… et le servit.

« Merci chienne, maintenant mes toi à quatre pattes par terre, je vais te nourrir comme mon animal de compagnie ».

 

Et donc, tout en mangeant, il me balança des frites et de petit morceau de poulet, parfois sur mon visage, parfois par terre. C’était tellement humiliant de manger comme cela, et… j’aimais cela !

 

Une fois nourrit, je dû nettoyer le sol à cause du gras laissé par les frites et faire la vaisselle. Maître Claude me dit ensuite que je devais m’habiller, car nous allons passer chez moi récupérer mes affaires. Malheureusement, je n’avais aucun habit de rechange, mon string d’hier était souillée, mes bas abimée, je ne portais que ma mini-jupe, mon débardeur et mes talons ! Une tenue d’été, alors qu’il faisait à peine 5° dehors ! Mais ce n’était que peu important, puisqu’on aller récupérer toutes mes affaires ! Maître Claude prit ses clés, et me dit de le suivre…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A suivre…

 

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Jeudi 17 mars 4 17 /03 /Mars 17:10

J’étais maintenant complétement nue à ses pieds, la tête posée sur ses belles chaussettes fines noires. Maître Claude commença par me caresser les fesses, puis me mis deux/trois légère fessées avant d’écarter mes fesses pour contempler et complimenter mon anus. Il rajouta aussi qu’il avait l’air bien serré, et qu’il avait hâte d’élargir tout cela. 

 

Il lâcha ensuite mes fesses, et m’ordonna de me redresser à genou face à lui, ce que je fis directement. Il me regarda, me fixa en détail, puis me dis qu’il était vraiment content d’avoir une soumise si belle, il insista sur le fait que je faisais très chienne, et qu’il en était ravi. Je ne puis que le remercier, j’étais moi aussi très heureuse de lui appartenir, même si c’était tout nouveau pour moi, je me sentais bien à ma place.

 

Maître Claude retira ensuite mon string de ma bouche, qu’il laissa par terre, et m’ordonna d’ouvrir grand la bouche, ce que je fis dans la seconde bien sûr. Il examina ma bouche de fond en comble, écarta mes lèvres avec ses doigts pour voir mes dents… « C’est très bien soumise, des dents irréprochable, aucune carie et bien blanche. » J’avais l’impression d’être chez mon dentiste, pourquoi me disait-il cela ? Pourquoi apportait-il autant d’importance aux dents ?

 

Je l’appris vite quand il continua sa phrase, il me révéla que son frère était dentiste, et qu’il l’avait en quelques sortes comptaminé de sa manie des dents irréprochable.

 

J’étais rassuré, une explication rationnelle ! Mais… Il avait un frère, qu’allais-je encore découvrir ? J’étais tellement pressée d’en apprendre beaucoup plus sur lui !

 

Maître Claude me coupa dans mes pensées quand il cracha sa salive dans ma bouche grande ouverte. « Avale soumise » me dit-il. Ce que je fis, c’était très agréable, et sa salive était plutôt bonne ! « Tu aimes ? » « Oui Maître, c’est très agréable ».

 

Puis il se mit au fond du canapé, et écarta ses jambes. « Viens, viens renifler la queue de ton Maître petite pute ! » Je n’attendais que cela, découvrir son sexe ! Ni une ni deux, j’avais ma tête sur son entrejambe, je reniflais comme une petite chienne à travers son jeans. Il ne fallut pas longtemps pour que je sente son sexe se dresser, il avait l’air d’être gros, ma seule hâte était de le voir, et surtout de l’avoir dans la bouche ! Je suis une fille qui adore sucer, je ne vous l’avez jamais dit ?

 

Il déboutonna ensuite son pantalon, et le baissa. J’avais ma tête sur son caleçon maintenant, je continué de renifler comme il me l’avait ordonné, mais je frotter aussi mon visage sur sa grosse bosse apparente ! Je pouvais sentir que son caleçon était un peu humide au niveau de son gland, dû à l’excitation, j’étais ravie de l’exciter !

 

Pendant que je continuer à faire cela, il enleva son haut, il avait un gros ventre poilu, comme l’était d’ailleurs tout autant ces cuisses. Contrairement à mes aprioris, son physique m’excitait énormément ! L’homme gros et poilu ! Le « cliché » parfait du dominateur sadique et pervers ! (Selon moi bien sûr !)  Son physique était bien loin de mes deux anciens « plan cul régulier », jeune, presque imberbe et plus musclé, mais bizarrement, j’étais maintenant beaucoup plus attiré par le physique de mon Maître, l’Amandine soumise avait aussi pris le dessus au niveau des critères physiques qui me plaisent haha !

 

Après de bonnes minutes le visage sur son caleçon, il  m’ordonna de me redresser, puis fis enfin tomber son caleçon au niveau de ses chevilles. Sa queue était superbe ! Déjà bien dressée, et le gland déjà humide, sa queue était longue, et surtout bien large, il était non circoncis, et bien sûr bien poilu. Je ne pouvais imaginer mieux, j’attendais juste qu’il me donne l’ordre d’aller m’amuser avec !

-« Comment la trouves tu petite chienne ? » Me dit-il

-« Superbe, elle est superbe Maître, elle me donne très envie ! »

-« Très bien, viens la goûter, commence par me lécher le sexe avec ta langue de petite chienne ! »

 

Sans perdre une seconde, ma langue était sur son membre.

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J’ai commencé par le bas, pour remonter sur le haut de son sexe, et arriver sur son gros gland humide ! Que c’était délicieux ! Et mon minou était tellement humide !

 

Après plusieurs allers-retours en léchage, il m’ordonna enfin de le sucer !

 

Je pris d’abord juste son gros gland en bouche, que je suçai délicatement.

 

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Puis je pris ensuite un peu plus en bouche, accélérant mon mouvement. J’essayai d’entamer une gorge profonde, mais je n’avais pas l’habitude, je réussi un peu, mais dû me retirer avant d’avoir son sexe entier dans ma bouche, tout au fond de ma gorge. Il n’a rien dit car c’était la première fois, mais j’avais directement senti que ce problème de gorge profonde aller devoir être vite réglé !

 

Je continuais à bien le sucer, alternant le gland, la tige, ma vitesse, jouant aussi bien avec ma langue, il avait l’air d’aimer cela ! Bien sûr j’avaler tout le pré-sperme qui coulait dans ma bouche. J’ai continué à le sucer de la sorte pendant une bonne quinzaine de minute, quand il se retira de ma bouche, je pensais qu’il voulait jouir, mais non, c’était pour venir déposer deux doigts sur mon minou.

 

Le sourire aux lèvres, il me dit qu’il avait prévu un tube de gel lubrifiant, comme c’était la première fois il n’était pas sûr que j’allais être assez mouillée, et qu’il s’était bien trompé sur le coup ! Il m’ordonna d’aller le sucer de nouveau, ce que je fis bien sûr directement. Sa queue était délicieuse, je n’avais qu’une envie, le regarder dans les yeux, lui montrer mon regard de petite perverse avec sa queue en bouche, mais il était stipulé dans le contrat qu’il m’était formellement interdit de regarder mon Maître dans les yeux, a part ordre contraire…

 

Le hasard fis bien les choses, il me dit de le regarder dans les yeux, qu’il voulait bien me voir avec sa queue dans ma bouche. Je le fixa directement dans les yeux, avec mon plus beau regard de chienne, je tenais son regard, la queue dans ma bouche, ça avait l’air de lui plaire ! Après quelques instants yeux dans les yeux, il sorti sa grosse bite de ma bouche, et me bifla violement, tout en m’insultant « Humm ! Tu fais ça très bien petite trainée ! Tiens prend cela pour avoir tenu le regard a ton Maître avec ton regard de chienne ! » Le mélange de son pré-sperme et de ma bave qu’il déposait sur mon visage en me biflant m’excité fortement !

 

Il me recula ensuite, et me mis à quatre pattes en levrette, il allait enfin me prendre, enfin j’allais sentir son membre dans mon minou ! Une chose était sûre, ça allait rentrer et glisser tout seul, vu à quel point j’étais mouillée !

 

Il approcha son gros sexe tendu de l’entrée de mon minou (sans préservatif oui, car nous avions tous les deux tests récents avant notre rencontre, et je prenais la pilule, et nous en avions surtout discuté par mail avant notre rencontre !

Mais si vous n’êtes pas sur de votre partenaire, utilisé un préservatif mes chers lecteurs ! ;-) )

 

Je le sentais à l’entrée de mon minou trempée

 

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Et sans aucune forme de délicatesse, il rentra directement en moi, je sentis directement sa grosse bite au fond de moi, il me baisa violemment, sans aucun romantisme, il me baisa comme sa soumise, et c’est comme cela que j’allais être baisé pendant les 5 ans à venir ! Est-ce que cela me dérangeait ? Non bien au contraire !

 

C’était tellement bon, tellement meilleur que les mecs trop délicats qui avaient peur de me faire mal ! Il me baisé, bien à fond, tout en me faisant rougir le cul à coup de fessés avec ces grosses mains expertes ! Et tout cela bien lubrifier par ma mouille, qui coulait encore et encore !

 

Puis un moment, il me mit un doigt dans le cul, son pouce entra dans mon petit trou. La sensation me fut bizarre, j’avais déjà était sodomisé, mais je n’avais que très peu d’expérience à ce niveau. Maître Claude me fis d’ailleurs directement la remarque que j’avais l’anus assez serré.

 

Il continuait de me baiser, tout en me doigtant le cul avec son pouce, il me défonçait tellement le minou, c’était super ! J’en ai jouie je ne sais combien de fois !

 

Après m’avoir baisé bien longtemps (wahou qu’est ce qu’il était endurant, et ce n’étais pas fini !) il prit finalement son tube de lubrifiant, et me tartina l’anus avec. Il me dit : « Aujourd’hui je te lubrifie, mais tu sais bien que ce ne sera pas toujours comme cela soumise ? » « Oui Maître, je sais Maître »

 

Il déposa son gland à l’entra de mon petit trou, et le poussa, heureusement, il fut un brun plus délicat que pour mon minou, je sentis mon anus s’écartait au passage de sa queue, c’était douloureux sur le coup, mais cette douleur c’est vite transformé en plaisir. Pas au point de jouir de l’anus pour le moment, je manquais encore d’expérience, mais c’était quand même très bon !

 

Après une bonne dizaine de minutes intense de sodomie, il retira son sexe, et vint présenter son sexe devant mon visage, puis il me l’arrosa, j’ouvris bien sûr la bouche, quelques jets tombèrent dedans, mais c’est surtout mon visage qui fut inondé de son sperme. Une fois son orgasme terminée, je vins lui nettoyer la queue de son sperme qui était resté en le suçant délicatement. En tout cas mon anus était parfaitement propre, j’avais bien fait de me faire un lavement anal avant de partir !

 

Une fois son sexe nettoyé, Maître Claude se retira, et passa délicatement sa main dans mes cheveux, comme pour me remercier. Puis il me dit que c’était plutôt pas mal, mais qu’il y avait quand même des choses à modifier. Puis il me dit : « Bon, je vais me doucher et dormir, je t’autorise à aller dans la cuisine te nettoyer le visage, et tu dormiras ensuite sur le canapé du salon. Demain matin, réveille moi à 09h, avec le même processus qui est cité dans le contrat, a demain chienne. »

 

J’étais assez déçu, premièrement car moi aussi j’aurais rêvais de prendre une douche, et surtout, j’aurais adoré dormir avec lui, dans son lit, même si je savais qu’un vrai lit était trop de confort pour la fille soumise que j’étais devenu, j’aurais au moins appréciée dormir dans sa chambre, dans le lit-cage en dessous de son lit, mais bon, c’est lui qui décide, et je ne pouvais qu’accepter. « Oui Maître, bonne nuit Maître ».

 

Il monta directement, moi, je filai dans la cuisine nettoyer mon visage inondé de sa semence, et aussi essayer d’enlever tant bien que mal mon léger maquillage qui avait coulé avec cette partie intense de sexe !

 

Une fois débarbouillée, je me couchais, nue, et sans couverte dans son canapé. Heureusement il ne faisait pas froid dans sa maison, surtout pour un mois de Janvier, mais ce n’était pas vraiment agréable de s’endormir de la sorte, mais c’est le côté humiliation dont a le droit la soumise que je suis, et je ne peux que l’accepter, et j’en étais heureuse.

 

Je m’endormie assez vite, épuisée par cette magnifique journée, et surtout cette magnifique soirée, le minou encoremouillée, et l’anus encore dilatée. Le sourire aux lèvres, car je savais que j’avais fait le bon choix, je savais que j’étais à ma place ici et j’avais déjà hâte d’être à demain ! Bien sûr, Maître Claude m’avait laissé mon portable, pour que je puisse mettre mon réveil, afin d’être prête pour son lever à 09h, le matin, il y avait un protocole très stricte à respecter, qu’il m’avait très bien expliqué dans le contrat.

 

 

 

 

 

 

A découvrir au prochain chapitre,

 

 

 A suivre…..

Par chroniques-soumise - Publié dans : Chronique
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Jeudi 10 mars 4 10 /03 /Mars 12:26

(Ce chapitre 8 est un peu particulier, mon Maître m’a autorisé à publier des photos de moi, vous allez donc découvrir mon corps, en même temps que lui l’a découvert en vrai ! Bonne lecture à vous tous !)

 

J’étais à ses pieds. Il avait retiré ses chaussures. Il portait des chaussettes noires et fines, je me sentais bien, à ma place dans cette position, à quatre pattes, le visage sur les pieds de mon Maître. De plus, dans cette position, ma jupe remonté, on voyait bien la couture de mes bas, et même un peu au-dessus ! Je pense que Maître Claude l’a bien maté !

 

Après une bonne quinzaine de minutes, Maître Claude ferma la télévision, et me mis un léger coup de pieds au visage, signe que je devais me redresser, ce que je fis directement.

 

« Soumise, il est maintenant plus que temps que je découvre ton corps, tu vas me montrer ce que tu caches derrière ta petite tenue de pute. »

 

Enfin ! Enfin j’allais m’offrir à lui physiquement ! C’était ce que j’attendais le plus !

 

Il m’ordonna de déplacer la table de salon, afin d’avoir de l’espace sur le tapis entre les canapés en U. C’est surement là que j’allais m’exhiber à lui. Je me relevai, et commença à bouger cette table, une belle table en verre, bien lourde !

 

J’eu du mal, Maître Claude ne m’aida pas, au contraire, il s’amusa de la situation, le sourire aux lèvres. M’enfin, après un petit moment de galère, j’avais réussi à déplacer la table de salon, laissant le tapis de sol totalement vide.

 

« Très bien soumise, rappelle moi de ne jamais solliciter  ton aide en cas de déménagement ! Maintenant, mets-toi debout sur le tapis, mains sur la tête. »

 

Ce que je fis directement, son petit pic sur ma galère à bouger la table ne me dérangea même pas, il avait raison, j’ai eu du mal à la bouger cette table. Avant, j’étais pourtant le genre de fille qui se vexer pour rien, maintenant je trouvais cela même plutôt agréable d’être humiliée par ce genre de petit pic.

 

« Maintenant, commence par retirer tes jolies escarpins » me dit-il d’un ton sévère. Je m’exécutai directement, puis il me demanda de les poser au sol sur le tapis. « Très bien, maintenant fou toi à quatre pattes, et commence par aller renifler l’intérieur de tes escarpins ! » J’étais maintenant à quatre pattes, telle une petite chienne je reniflais l’intérieur de mes escarpins que je portais depuis 14h. « Que sens-tu soumise ? » L’odeur était plutôt agréable, un léger mélange de chaussures porté toute la journée avec des bas en nylon, autrement dit une petite odeur de pieds, mais pas

nauséabonde, au contraire plus qu’agréable, mélangé à la senteur d’une chaussure légèrement neuve, c’était subtilement délicieux ! Je lui répondis donc que je sentais une agréable odeur de pieds mélangé à la senteur neuve d’une chaussure. Il apprécia et m’ordonna maintenant d’aller lécher la semelle. Heureusement, je n’avais ni marché dans un chewing-gum, ni dans la boue, il y avait sur ma semelle la poussière que l’on récolte en marchant en ville. Je léchai d’abord timidement avec le bout de ma langue, il ne fut que quelques secondes pour que Maître Claude me dise d’y aller plus franchement. Je pris mon courage à deux mains, et lécha à bon coup de langue ! La sensation n’était pas vraiment agréable, mais à ma grande surprise, elle n’était pas si déplaisante. Une fois les semelles de ma paire de chaussures complétement propre, Maître Claude m’ordonna de sucer le talon de mon escarpin « Suce comme si c’était ma queue » me dit-il. Je commençai par lécher le talon tout entier, puis le suça bien à fond, et sur toute sa longueur.

 

C’était agréable d’être humiliée comme cela, mais je n’avais qu’une seule hâte, goûté vraiment à son sexe. Après cinq bonne minute de suce sur mon talon, il me dit d’arrêtai et de me redresser a genou, ce que je fis.

 

« Très bien, tu es une bonne chienne, maintenant, tu vas retirer ton débardeur, j’ai très envie de voir tes seins qui se laisse devenir depuis le début de l’après-midi. »

 

Toujours à genoux, je retirai mon haut, que je posai sur le tapis.

 

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Mes seins étaient à sa vue, inutile de vous préciser que mes gros tétons roses pointés avec mon excitation. Il m’ordonna alors de me rapprochait, toujours à genoux, ce que je fis bien sûr. Il commença par peloter mes deux seins, et me complimenta sur leur forme, ainsi que leur taille. Il me dit qu’il l’es imaginait légèrement plus petit au vu de mon gabarit. 

 

Puis il saisit mes deux tétons, qu’il pinça assez fortement, puis tira dessus. La douleur provoquait par ces deux derniers gestes me fit extrêmement mouillée ! Je trouvais cela à la fois douloureux, mais en même temps tellement agréable ! Il n’y avait en tout cas plus aucun doute sur le fait que je sois maso ! Après s’être bien diverti avec mes seins, Maître Claude m’ordonna de retourna sur le tapis, ce que je fis dans le seconde.

 

Il m’ordonna maintenant de retirer délicatement ma jupe, ce que je fis, il me complimenta alors sur mes bas, ainsi que mon string. Ca me faisais très plaisir de recevoir des compliments de sa part, j’en étais plus que comblée, et ça me donné envie d’encore plus m’offrir totalement à lui.

 

« Met toi en position levrette maintenant grosse chienne, montre-moi tes belles fesses ! »

Immédiatement, je me tournai, et me mis dans la position voulu, mes fesses bien exhiber à mon Maître.

 

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Je cambrai le plus possible, le visage bien au sol, puis il m’ordonna d’écartais la ficelle de mon string, pour lui montrer

mon petit trou. Il apprécia le spectacle, un bon mélange de compliments, et d’insultes humiliantes, que demander de mieux ? Dans cette position, je n’avais qu’une seule envie, qu’il vienne me prendre sauvagement le minou en levrette, mais ce ne fut pas le cas.

 

Il me laissa assez longtemps dans cette position, plus les secondes passer, plus j’avais espoir de le sentir entrer en moi.

 

Malheureusement, après de bonnes minutes, il m’ordonna de retirer mon string, et de me mettre sur le dos. « Je veux voir ta belle petite chatte de pute » me dit-il sévèrement.

 

Je retirai donc mon string, puis me mis sur le dos, les jambes biens écartés bien-sûr.

 

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Il examina mon intimité, cela m’exciter. Je me demandais où était l’Amandine qui étais gênée de se mettre nue chez le gynécologue, ou même dans les vestiaires après le sport. Elle était bien loin, et c’était tant mieux !

 

Inutile de vous dire qu’il remarqua que mon minou était un vrai ruisseau tellement j’étais mouillée, il me dit donc « Je vois que tout ça t’excite bien petite chienne, c’est très bien ! » Puis il me fit une remarque, il me dit qu’il était heureux que j’aie un gros clito, qu’il préférait cela au tout petit clito de son ancienne soumise.

 

Il me demanda ensuite de lui donner mon string, pour qu’il examine cela de plus près. Je lui donnai, bien que gênée, il était trempé, j’avais rarement autant souillée un string de ma mouille ! Il le prit, le toucha, le regarde de près et fus lui aussi surpris par toute la mouille que j’avais laissé dedans ! Il m’ordonna donc de nouveau de me rapprochai de lui, à quatre pattes. Une fois près de lui, il me demanda d’ouvrir la bouche bien grande, ce que je fis, et il y glissa dedans mon string souillé qu’il avait mis en boule. « Tu la sens bien ta mouille la ? Aller retourne sur le tapis maintenant ! » Je lui fis un signe oui de la tête, et retourna sur le tapis. La sensation du string dans la bouche était plutôt agréable.

 

Il ne me restait que mes bas, je pensais que j’allais les garder pour le reste de la soirée, mais non, Maître Claude me dit : « Tu vas maintenant retirer tes bas, mais attention, de façon streap tease, alors met toi debout, et applique toi ! » Il saisit une télécommande, et activa sa chaîne Hi-Fi, la célèbre musique de streap tease (dont j’ai oublié le nom et l’auteur, punissez moi tous LOL !) retentis dans la pièce. Je n’étais pas vraiment à l’aise, je n’avais jamais fait cela, et encore moins uniquement pour des bas. Je n’étais pas douée en danse, encore moins en danse sensuel, et faire cela avec un string en boule dans la bouche rempli d’une grande quantité de mouille était d’autant plus humiliant.

 

Bon… Il faut que je me lance, j’essayais de reproduire un streap que j’avais vu récemment à la télévision sur la même musique, imitant la danse de cette charmante jeune femme qui faisait cela avec une aisance déconcertante. Je retirai délicatement le bas droit entre ma pseudo danse sexy, puis le bas gauche. Je posai la paire délicatement sur le tapis,

puis Maître Claude stoppa la musique. Il avait le sourire aux lèvres, avais-je réussi mon streap tease ? Ou était-ce

tellement ridicule qu’il ne pouvait avoir que le sourire aux lèvres ? Je n’ai moi-même pas la réponse !

Montre-moi tes jolies pieds maintenant me dit-il.

 

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Il apprécia et me complimenta sur mon vernis, il avait l’air d’aimer les pieds !

 

Pour conclure cette belle exhibe, Maître Claude me dit qu’il était content de mon corps, et qu’il était ravi que mon corps

lui appartienne, et qu’il n’allait pas tarder quand même à déjà y faire quelques modifications. De quoi parlait-il ? Je n’osais pas lui poser la question, et toute façon, je ne pouvais pas, le string dans ma bouche, me servait aussi de bâillon.

 

« Revient à mes pieds maintenant soumise, la soirée n’est pas encore fini ! »

 

Que m’avais t’il réserver pour cette fin de soirée qui avait formidablement commencé ? J’avais hâte de le découvrir !

 

 

 

 

 

 

 

 

A suivre…

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Mercredi 9 mars 3 09 /03 /Mars 13:52

Maître Claude était assis sur le canapé, j’étais debout à côté. Il sirota une bonne gorgée de son verre de vin, puis m’ordonna d’aller chercher le contrat, qui était préparé sur le meuble dans le hall d’entrée, ainsi que mon sac à main qu’il avait aussi laissé à l’entrée.

 

« Oui Maître », ni une ni deux, j’avais le contrat et mon sac à main, et j’étais de nouveau dans le salon. Maître Claude me dit « Pose tout cela sur la table de salon, et assis toi sur le canapé à côté du mien. Bien sûr je te rappelle que tu n’as jamais le droit, sous aucun prétexte de croiser les jambes. »

Je posai tout ça sur la table, puis m’assis délicatement dans le canapé, en prenant soin bien-sûr de ne pas croiser mes jambes. Je l’es ai juste serrés un peu, et ma position exhiber la couture de mes bas, Maître Claude ne se gêna pas pour le mater.

 

-« Alors, écoute moi bien chienne, c’est la seule et unique fois que je le demanderais, es-tu sûre de vouloir signer ce contrat, de m’appartenir totalement, et sans aucun tabous ? »

-« Oui, oui Maître, c’est exactement ce que je veux, et j’en suis plus qu’honorée »

-« Très bien chienne, alors date et signe les trois dernières pages du contrat, tout en tenant compte que j’ai bien noté les pratiques pour lesquelles il te faut une initiation plus douce. Tu peux le relire aussi une dernière fois si tu le souhaite. »

Maître Claude me tendit un stylo, que je pris « Merci Maître », je relis très brièvement le contrat, puis data et signa les trois dernières pages.

« Voilà Amandine, tu es ma soumise maintenant, c’est officielle, et j’en suis très fier. Comme il est dit dans le contrat, tu m’appartiens à partir d’aujourd’hui, et jusqu’au minimum la fin de tes cinq années d’études, après libre à toi de rester ou non, mais ça, tu auras bien le temps d’y réfléchir ! »

« Oui Maître, bien-sûr »

« Bon, commençons par le commencement, donne-moi ton sac à main que je fouille tout cela. »

 

Je lui tendis, il le prit. Il commença par sortir ma veste en cuir qu’il posa à côté de lui sur le canapé. Puis il replongea sa main dedans, puis sorti d’abord ma carte d’identité. Il l’a regarda, vérifia bien que j’étais majeur, puis comme tout le monde à chaque fois que je montre ma carte d’identité, me fit une petite réflexion sur ma photo, j’étais malade ce jour-là, et loin d’être au top de ma beauté malheureusement !

 

Il replongea sa main, le RIB bancaire maintenant « Ça, je le conserve, j’en aurais besoin pour faire tes versements mensuels »

 

« Merci beaucoup Maître »

 

Puis vient le tour de mon pc portable, il l’ouvrit, puis m’ordonna de changer mon mot de passe « Désormais, tous tes mots de passe seront à mon nom, puis mon prénom, compris soumise ? »

 

« J’ai bien compris oui Maître »

 

Une fois le pc ouvert, il commença par ouvrir mes documents, il fouilla tout d’abord les photos, rien de spéciale à part des photos « normales » de moi, et les photos d’un voyage avec ma mère et ma sœur. Il complimenta d’ailleurs leurs physiques, surtout celui de ma mère, je le remercie. Il fouilla ensuite mes musiques et vidéos, rien de très intéressant. Pour finir, il ouvrit mon navigateur internet, et regarda l’historique, puis me dit « Et bien soumise, c’est très bien, je vois que tu t’es fortement documenté et intéressé au BDSM ! »

 

Il me précisa ensuite que mon ordinateur devenait sa propriété, que j’allais y avoir accès qu’avec son autorisation, et que quand il n’était pas là, je n’avais le droit que de l’utiliser en « libre-service » uniquement si c’était pour mes cours.

 

Ensuite, il sorti mon portable, le déverrouilla, puis commença par supprimer les applications de jeux-vidéos (j’étais une grande joueuse sur mon portable LOL) « Tu n’auras plus besoin de cela soumise ». Il regarda ensuite mes photos, en supprima certaines, puis fini par mes contacts, il me dit « Pour tes contacts, je vais te citer leur nom un par un, pour chaque, tu me présenteras en détails cette personne, et je déciderai, si je le supprime ou non. » Le temps que l’on face cela pour ma centaine de contact, le temps passa, après une petite heure, on avait fait le tour, inutile de vous préciser qu’il avait entre autre, supprimé le numéro de mon ex, de mes deux « plan cul », et de pas mal d’ami(e)s qu’il ne lui inspirait pas confiance.  Je n’étais même pas déçue des numéros qu’il avait supprimés, tant qu’il laisse ma mère et ma sœur, c’était bon. Pour finir, il entra aussi son numéro, puis me dis « J’ai rentré mon numéro, et j’y est affecté une sonnerie différente que tes autres contacts, que ce soit pour les SMS ou pour les appels. Dès que tu entendras cette sonnerie, peu importe ce que tu es en train de faire, je veux que tu te diriges directement vers ton portable, et que tu me répondes directement. Pour les autres numéros, je t’interdis d’y répondre hors de ma présence, je veux contrôler toutes tes conversations. »

 

« Bien Maître, c’est noté »

 

Je n’avais pas vu le temps passé, il était déjà 19h30, Maître Claude m’ordonne d’aller faire à manger. Il me commanda le menu qu’il désirait, et il précisa que je devais en faire un peu plus pour moi, il me précisa où il rangeait les aliments et les ustensiles dans la cuisine, histoire que je ne perdre pas mon temps inutilement à chercher. Me voilà dans la cuisine, pendant que Maître Claude regardait tranquillement la télé. Au menu, pomme de terre sauté, steak, et sauce au poivre. Je n’avais plus vraiment l’habitude de cuisiné ce genre de plat, ça me changeais de mes pâtes/steak haché quotidien ! Heureusement, j’étais plutôt douée derrière les fourneaux. En cuisinant, j’étais heureuse, heureuse d’être là, je savais que j’avais pris la bonne décision ! Mais ma seule hâte était de m’offrir physiquement à mon Maître. M’enfin, une fois le plat prêt, j’entamai pour la première fois le rituel de service de plat, comme il l’était détaillé dans le contrat.

 

« Maître ? Le repas est prêt, vous pouvez si vous le désirez aller vous installer dans la salle à manger »

Sans dire un mot, et après deux petites minutes, il ferma la télévision, et s’installa en salle à manger. J’avais déjà préparé son assiette, ces couverts, et son verre. J’arrivai avec le repas, et le servis directement dans son assiette, pour me remercier, il caressa mes fesses à travers ma jupe, ce qui eut le don de m’exciter ! « Que désirez-vous boire avec cela Maître ? »

 

« Un bon verre d’eau fraîche ça ira soumise »

 

Je me précipitai donc dans la cuisine, et prit la bouteille d’eau au frigo. Je remplie son verra, et me recula d’un pas. J’attendais, comme il était stipulé dans le contrat, que Maître Claude prenne son repas, mais il me dit : « Pour le premier repas chienne, je t’autorise à aller le manger tout de suite dans la cuisine, mais tu sais que ce ne sera pas toujours comme cela ! » (Maître Claude avait un tas de façon pour me faire manger, vous en découvrirez pas mal dans les prochains chapitres !)

 

Direction donc la cuisine pour prendra mon repas, debout, mon assiette posé sur le plan de travail. Mon repas était déjà un peu froid, mais se fut quand même bon ! Timing parfait, à peine j’eu fini que Maître Claude m’appela pour débarrasser,  ce que je fis dans le seconde. Il me dit « Fait maintenant la vaisselle, et nettoie le plan de travail, attend ensuite dans la cuisine. Je vais regarder le journal télévisé, je t’autorise à venir te mettre à quatre pattes à mes pieds dès que mon journal sera terminé »

 

Vaisselle et nettoyage du plan de travail terminé, je dû attendre une petite dizaine de minutes que le journal se finisse. A peine ce cher présentateur de TF1 avait rendu l’antenne, que j’étais à quatre pattes, à ces pieds, et la soirée ne faisait que commencer…

 

 

 

 

 

 

 

A suivre…

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Lundi 7 mars 1 07 /03 /Mars 00:07

Me voilà dans le métro direction la station « Lille Grand Palais » ! A ce moment précis un tas de questions flottent dans ma tête. Vais-je lui plaire ? Ma veste ne va pas l’énerver ? Que m’a t’il réservé pour notre première rencontre ? Et encore un tas d’autres questions de ce style !

 

J’arrive à Grand Palais, je sors du métro, j’étais stressée ! Mais en même temps j’avais très hâte ! Je prends les escalateurs, et me voilà sorti de la station de métro ! Il était 14h25, cinq minutes d’avance ! Je cherchai une Mercedes blanche, et la vit garé dans le parking juste en face. Je pris une grande respiration, et c’est parti ! Je traverse la route, et me voilà sur le parking. Je vis directement Maître Claude qui m’attendait au volant de sa voiture. Il était garé au fond du parking, le temps que je le traverse de tout son long, il m’avait aussi vu, il me regarda avec son regard à la fois sévère et vicieux, mais on pouvait aussi voir qu’il était très content que je sois là !

 

Comme il me l’avait ordonné par mail, direction la place arrière côté passager. J’étais stressée ! J’ouvris la portière, et m’assis, puis lui dit « Bonjour Maître ». A cela, il me répondit sur un ton plutôt sévère « Bonjour ma soumise, retire cette veste en cuir, je ne t’avais pas parlé de ça dans mon mail. »  J’étais gênée, quelle cruche je suis, pourquoi ai-je mise cette veste ? Je la retirai dans la seconde, et la mise dans mon sac à mains « Désolé Maître » dis-je toute gênée. « C’est bon pour une fois chienne » rétorqua t’il directement.

 

Comme il l’avait précisé dans son mail, ensuite je ne devais pas parler de tout le trajet, et garder la tête baissée, ce que je fis. Le trajet était assez long, environ 25 minutes, il n’habitait pas Lille même, mais une plus petite ville aux alentours, bien plus tranquille, et mieux situé pour sa grande maison.

 

Après c’est bonne vingt-cinq minutes, nous voilà enfin à destination. Nous entrâmes par un grand portail, et Maître Claude se gara dans la cours devant la maison prévue pour cela. Maître Claude sorti de la voiture, je levai moi aussi la tête pour sortir, et là j’aperçu sa maison. Quelle superbe demeure, c’était une grande maison, un genre de petit manoir, avec devant une grande cours, pour garer les voitures, et avec une belle grande fontaine en plein milieu.  Derrière, on pouvait deviner un grand et beau jardin, le tout entourée d’arbre, et pas un voisin à l’horizon, de quoi être totalement au

calme.

 

Comme il me l’avait ordonné dans son mail, je sorti de la voiture, et me mis directement à quatre pattes. J’espérais que les cailloux de la cour n’allaient pas abimer ou craquer mes bas. Maître Claude prit mon sac à main que j’avais laissé sur la place arrière, et avança jusqu’à l’entrée de sa demeure, je le suivi, toujours à quatre pattes bien sûr.

 

Nous arrivâmes devant la porte d’entrée, Maître Claude ouvrit, entra en premier, puis me dis « Entre chienne, bienvenu chez moi. » J’avançai donc. J’étais dans un grand et jolie hall d’entrée. Maître Claude retira son manteau, et le pendis au porte manteau à l’entrée. « Suis moi chienne, toujours à quatre pattes bien-sûr ». Nous traversons donc le hall d’entrée, et nous voilà arrivés dans le séjour. Un grand salon, avec plusieurs canapé disposé en U, avec au milieu un tapis et une table de salon. Au mur était accrochée une immense télévision, et il y avait aussi une cheminée magnifique, j’adore les cheminées !

 

Maître Claude me dis : « Je vais commencer par te faire faire le tour du propriétaire, comme ça au moins ce sera fait, mais d’abord viens baiser les pieds de ton Maître pour le saluer ». Comme un réflexe que j’avais déjà acquis un « Oui Maître » sorti de ma bouche, et je m’avançai près de lui pour lui baiser les pieds, enfin, plutôt ces chaussures. Il portait de belles chaussures de villes, parfaitement propre, et surement récente, car elle sentait encore le cuir. Bref, je commençai par baiser le pied gauche, je déposai plusieurs baisers sur le haut de la chaussure, puis fit de même pour le pied droit. Cela me fit mouiller, même si je l’étais déjà bien avant !

 

« C’est bien soumise, maintenant suis moi, je vais te faire visiter, et toujours à quatre pattes bien-sûr ! » Derrière le salon, la cuisine, une belle cuisine tout équipé avec même un bar qui séparé la cuisine du salon.  Puis nous avançons, nous voilà maintenant dans une grande pièce, la salle à manger. Une immense table, beaucoup de chaises, Maître Claude devait, son aucun doute, souvent recevoir. Au fond de la pièce, une grande baie vitrée qui donnait vu sur une belle terrasse en bois, et surtout, son immense jardin ! Tout en longueur, entouré de sapin, puis d’arbre, magnifique !

 

Pour finir pour le rée de chaussée, il me montra aussi les toilettes, qui étaient située après la salle à manger. Maintenant direction le deuxième étage, nous empruntons les escaliers situé à la sortie du grand hall, et nous montâmes au deuxième étage, pas si évident à quatre pattes, surtout avec une jupe si courte, Maître Claude c’est sans doute rincé l’œil, mais il n’a fait aucun commentaire sur ma tenue. Ce second étage, c’était un immense couloir, avec pleins de pièces juxtaposé de part et d’autre. Maître Claude me dit : « Je t’épargne les quatre premières portes, ce sont des chambres d’amies. » Il me montra ensuite les toilettes, et les deux salles de bains réservés aux chambres d’amies.

 

Puis nous arrivâmes au fond du couloir, il ouvrit la dernière porte, et la une immense chambre, sa chambre ! Au milieu, un lit king size surélevé, au moins quatre ou cinq personnes pouvait y dormir facilement dedans ! Une grande télé, un fauteuil, un tapis, et un tas d’autres choses, j’admirais tout ça, qu’en tout à coup, je vis quelque chose d’intriguant, je compris pourquoi son lit était surélevé, en dessous, il y avait une cage, assez étroite, mais on y rentré quand même une personne, avec un matelas fin posé au sol (voir la photo du lit qui est mise sur le site internet là où Maître Claude l’a acheté.).

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J’avais compris que cette cage était aménagée pour moi, je lui dis donc « Je présume que c’est ici que je vais dormir Maître ? » Il me mit un coup de pieds dans la côte, ce fut assez douloureux

- « T’ai-je donné la permission de parler chienne ? »

- « Non Maître, désolé Maître »

- « Et pour répondre à ta question, c’est l’un des endroits dans lequel tu dormiras oui. »

 

Il m’emmena ensuite dans la salle de bain privé, lié à sa chambre. Encore une très jolie pièce, douche italienne, grande baignoire, et jacuzzi. On finit le second étage par son dressing, qui était aussi superbe et très spacieux, puis son bureau, qui était grand, et très bien rangé.

 

Nous montâmes maintenant au troisième et dernier étage, il me dit « voilà mon étage privé ». Là, ce n’était qu’une seule immense pièce, avec un tas d’équipement lié au BDSM, il y avait des objets dont j’ignorais l’existence, tout dans cette pièce était consacré à la torture, à l’humiliation, et à la domination ! Il y avait par exemple l’incontournable croix de St André, mais aussi un grand bassin avec les parois transparente (voir l'exemple), des harnées en cuir, et un tas d'autres choses ! 

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Il clôtura cette pièce en me disant que je la découvrirais plus précisément par la suite.

 

Nous redescendons au ré de chaussée, et fini cette magnifique visite par la cave au sous-sol. Rien de bien intéressant, assez humide, c’est plus un fourre-tout qu’autre chose.

 

Nous revoilà maintenant dans le salon, Maître Claude s’assis sur le canapé, et me fit signe de rester à quatre pattes à côté du canapé, puis m’ordonna de me redresser, mais tout en restant à genou, ce que je fis.

-« Alors soumise, que penses-tu de ma demeure ? »

-« Elle est vraiment magnifique Maître ! Pour être franche avec vous, comme vous m’aviez dit que vous êtes DRH d’une grande entreprise, je m’attendais déjà à une grande et belle maison, mais jamais je n’aurais imaginez quelque chose d’aussi beau, je suis vraiment honorée de vous appartenir à demeure dans cette maison ! »

« Merci soumise, ravi que ça te plaise ! »

 

Après cela, il sorti son portable et répondit à un texto. J’attendais, toujours dans la même position. Après deux petites minutes il m’ordonna :

-« Chienne, va me chercher un bon verre de vin dans la cuisine, une bouteille est déjà entamer, elle est sur le plan de travail, tu ne peux la louper ! »

-« Oui Maître, j’y vais de suite. »

-« Et bien-sûr, tu peux maintenant te lever soumise. »

-« Merci Maître. »

 

Je me levai dans le seconde, et marcha vers la cuisine, m’ont premier réflexe fut de regarder mes bas, étaient-ils

troués ? Non, juste un peu froissé et abimer au niveau des genoux. J’étais déçu, je l’es avait payé cher, mais bon, tant pis !

 

Une fois dans la cuisine, je vis directement la bouteille de vin, mais où étaient les verres ? Je fouillai quelques tiroirs, jusqu’à ce que… bingo ! Les voilà ! Je saisi un verre à vin, que je rempli avec délicatesse, puis redirection le salon !

Je tends le verre à Maître Claude, tête baissé bien-sûr, il le saisi, et me remercia d’une délicate caresse sur la cuisse. Ce qui me fit de nouveau mouillée, toute façon, mon string était déjà bien souillé !

-« Bon, soumise, l’heure est venu de signer le contrat, que tu m’appartiennes définitivement ! »

 

 

 

 

 

 

A suivre…

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