Lundi 7 mars 1 07 /03 /Mars 00:07

Me voilà dans le métro direction la station « Lille Grand Palais » ! A ce moment précis un tas de questions flottent dans ma tête. Vais-je lui plaire ? Ma veste ne va pas l’énerver ? Que m’a t’il réservé pour notre première rencontre ? Et encore un tas d’autres questions de ce style !

 

J’arrive à Grand Palais, je sors du métro, j’étais stressée ! Mais en même temps j’avais très hâte ! Je prends les escalateurs, et me voilà sorti de la station de métro ! Il était 14h25, cinq minutes d’avance ! Je cherchai une Mercedes blanche, et la vit garé dans le parking juste en face. Je pris une grande respiration, et c’est parti ! Je traverse la route, et me voilà sur le parking. Je vis directement Maître Claude qui m’attendait au volant de sa voiture. Il était garé au fond du parking, le temps que je le traverse de tout son long, il m’avait aussi vu, il me regarda avec son regard à la fois sévère et vicieux, mais on pouvait aussi voir qu’il était très content que je sois là !

 

Comme il me l’avait ordonné par mail, direction la place arrière côté passager. J’étais stressée ! J’ouvris la portière, et m’assis, puis lui dit « Bonjour Maître ». A cela, il me répondit sur un ton plutôt sévère « Bonjour ma soumise, retire cette veste en cuir, je ne t’avais pas parlé de ça dans mon mail. »  J’étais gênée, quelle cruche je suis, pourquoi ai-je mise cette veste ? Je la retirai dans la seconde, et la mise dans mon sac à mains « Désolé Maître » dis-je toute gênée. « C’est bon pour une fois chienne » rétorqua t’il directement.

 

Comme il l’avait précisé dans son mail, ensuite je ne devais pas parler de tout le trajet, et garder la tête baissée, ce que je fis. Le trajet était assez long, environ 25 minutes, il n’habitait pas Lille même, mais une plus petite ville aux alentours, bien plus tranquille, et mieux situé pour sa grande maison.

 

Après c’est bonne vingt-cinq minutes, nous voilà enfin à destination. Nous entrâmes par un grand portail, et Maître Claude se gara dans la cours devant la maison prévue pour cela. Maître Claude sorti de la voiture, je levai moi aussi la tête pour sortir, et là j’aperçu sa maison. Quelle superbe demeure, c’était une grande maison, un genre de petit manoir, avec devant une grande cours, pour garer les voitures, et avec une belle grande fontaine en plein milieu.  Derrière, on pouvait deviner un grand et beau jardin, le tout entourée d’arbre, et pas un voisin à l’horizon, de quoi être totalement au

calme.

 

Comme il me l’avait ordonné dans son mail, je sorti de la voiture, et me mis directement à quatre pattes. J’espérais que les cailloux de la cour n’allaient pas abimer ou craquer mes bas. Maître Claude prit mon sac à main que j’avais laissé sur la place arrière, et avança jusqu’à l’entrée de sa demeure, je le suivi, toujours à quatre pattes bien sûr.

 

Nous arrivâmes devant la porte d’entrée, Maître Claude ouvrit, entra en premier, puis me dis « Entre chienne, bienvenu chez moi. » J’avançai donc. J’étais dans un grand et jolie hall d’entrée. Maître Claude retira son manteau, et le pendis au porte manteau à l’entrée. « Suis moi chienne, toujours à quatre pattes bien-sûr ». Nous traversons donc le hall d’entrée, et nous voilà arrivés dans le séjour. Un grand salon, avec plusieurs canapé disposé en U, avec au milieu un tapis et une table de salon. Au mur était accrochée une immense télévision, et il y avait aussi une cheminée magnifique, j’adore les cheminées !

 

Maître Claude me dis : « Je vais commencer par te faire faire le tour du propriétaire, comme ça au moins ce sera fait, mais d’abord viens baiser les pieds de ton Maître pour le saluer ». Comme un réflexe que j’avais déjà acquis un « Oui Maître » sorti de ma bouche, et je m’avançai près de lui pour lui baiser les pieds, enfin, plutôt ces chaussures. Il portait de belles chaussures de villes, parfaitement propre, et surement récente, car elle sentait encore le cuir. Bref, je commençai par baiser le pied gauche, je déposai plusieurs baisers sur le haut de la chaussure, puis fit de même pour le pied droit. Cela me fit mouiller, même si je l’étais déjà bien avant !

 

« C’est bien soumise, maintenant suis moi, je vais te faire visiter, et toujours à quatre pattes bien-sûr ! » Derrière le salon, la cuisine, une belle cuisine tout équipé avec même un bar qui séparé la cuisine du salon.  Puis nous avançons, nous voilà maintenant dans une grande pièce, la salle à manger. Une immense table, beaucoup de chaises, Maître Claude devait, son aucun doute, souvent recevoir. Au fond de la pièce, une grande baie vitrée qui donnait vu sur une belle terrasse en bois, et surtout, son immense jardin ! Tout en longueur, entouré de sapin, puis d’arbre, magnifique !

 

Pour finir pour le rée de chaussée, il me montra aussi les toilettes, qui étaient située après la salle à manger. Maintenant direction le deuxième étage, nous empruntons les escaliers situé à la sortie du grand hall, et nous montâmes au deuxième étage, pas si évident à quatre pattes, surtout avec une jupe si courte, Maître Claude c’est sans doute rincé l’œil, mais il n’a fait aucun commentaire sur ma tenue. Ce second étage, c’était un immense couloir, avec pleins de pièces juxtaposé de part et d’autre. Maître Claude me dit : « Je t’épargne les quatre premières portes, ce sont des chambres d’amies. » Il me montra ensuite les toilettes, et les deux salles de bains réservés aux chambres d’amies.

 

Puis nous arrivâmes au fond du couloir, il ouvrit la dernière porte, et la une immense chambre, sa chambre ! Au milieu, un lit king size surélevé, au moins quatre ou cinq personnes pouvait y dormir facilement dedans ! Une grande télé, un fauteuil, un tapis, et un tas d’autres choses, j’admirais tout ça, qu’en tout à coup, je vis quelque chose d’intriguant, je compris pourquoi son lit était surélevé, en dessous, il y avait une cage, assez étroite, mais on y rentré quand même une personne, avec un matelas fin posé au sol (voir la photo du lit qui est mise sur le site internet là où Maître Claude l’a acheté.).

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J’avais compris que cette cage était aménagée pour moi, je lui dis donc « Je présume que c’est ici que je vais dormir Maître ? » Il me mit un coup de pieds dans la côte, ce fut assez douloureux

- « T’ai-je donné la permission de parler chienne ? »

- « Non Maître, désolé Maître »

- « Et pour répondre à ta question, c’est l’un des endroits dans lequel tu dormiras oui. »

 

Il m’emmena ensuite dans la salle de bain privé, lié à sa chambre. Encore une très jolie pièce, douche italienne, grande baignoire, et jacuzzi. On finit le second étage par son dressing, qui était aussi superbe et très spacieux, puis son bureau, qui était grand, et très bien rangé.

 

Nous montâmes maintenant au troisième et dernier étage, il me dit « voilà mon étage privé ». Là, ce n’était qu’une seule immense pièce, avec un tas d’équipement lié au BDSM, il y avait des objets dont j’ignorais l’existence, tout dans cette pièce était consacré à la torture, à l’humiliation, et à la domination ! Il y avait par exemple l’incontournable croix de St André, mais aussi un grand bassin avec les parois transparente (voir l'exemple), des harnées en cuir, et un tas d'autres choses ! 

30min150205

 

Il clôtura cette pièce en me disant que je la découvrirais plus précisément par la suite.

 

Nous redescendons au ré de chaussée, et fini cette magnifique visite par la cave au sous-sol. Rien de bien intéressant, assez humide, c’est plus un fourre-tout qu’autre chose.

 

Nous revoilà maintenant dans le salon, Maître Claude s’assis sur le canapé, et me fit signe de rester à quatre pattes à côté du canapé, puis m’ordonna de me redresser, mais tout en restant à genou, ce que je fis.

-« Alors soumise, que penses-tu de ma demeure ? »

-« Elle est vraiment magnifique Maître ! Pour être franche avec vous, comme vous m’aviez dit que vous êtes DRH d’une grande entreprise, je m’attendais déjà à une grande et belle maison, mais jamais je n’aurais imaginez quelque chose d’aussi beau, je suis vraiment honorée de vous appartenir à demeure dans cette maison ! »

« Merci soumise, ravi que ça te plaise ! »

 

Après cela, il sorti son portable et répondit à un texto. J’attendais, toujours dans la même position. Après deux petites minutes il m’ordonna :

-« Chienne, va me chercher un bon verre de vin dans la cuisine, une bouteille est déjà entamer, elle est sur le plan de travail, tu ne peux la louper ! »

-« Oui Maître, j’y vais de suite. »

-« Et bien-sûr, tu peux maintenant te lever soumise. »

-« Merci Maître. »

 

Je me levai dans le seconde, et marcha vers la cuisine, m’ont premier réflexe fut de regarder mes bas, étaient-ils

troués ? Non, juste un peu froissé et abimer au niveau des genoux. J’étais déçu, je l’es avait payé cher, mais bon, tant pis !

 

Une fois dans la cuisine, je vis directement la bouteille de vin, mais où étaient les verres ? Je fouillai quelques tiroirs, jusqu’à ce que… bingo ! Les voilà ! Je saisi un verre à vin, que je rempli avec délicatesse, puis redirection le salon !

Je tends le verre à Maître Claude, tête baissé bien-sûr, il le saisi, et me remercia d’une délicate caresse sur la cuisse. Ce qui me fit de nouveau mouillée, toute façon, mon string était déjà bien souillé !

-« Bon, soumise, l’heure est venu de signer le contrat, que tu m’appartiennes définitivement ! »

 

 

 

 

 

 

A suivre…

Par chroniques-soumise - Publié dans : Chronique
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