Partager l'article ! Chapitre 2 : La décision.: Après mon service du midi au restaurant, je suis directement rentrée chez moi, je n’avais pas de cours cet après ...
Après mon service du midi au restaurant, je suis directement rentrée chez moi, je n’avais pas de cours cet après-midi. J’avais toujours cette proposition en tête, impossible pour moi de penser à autre chose…
Une fois rentrée chez moi, dans mon appart étudiant plutôt miteux d’à peine 15m², j’avais besoin d’une douche, pour me décontracter de ce midi de travail certes, mais aussi et surtout, pour réfléchir à cette proposition que je suis incapable de sortir de ma tête.
Je me suis donc déshabillée, j’ai commencée par le haut, dégrafer mon soutien-gorge, libérant mes seins ronds et fermes. Mes tétons roses pointé, le froid ? Peut-être, on était en Janvier après tout, mais je pense que c’est aussi, et surtout l’excitation de cette proposition. Puis j’ai retiré le bas, ma jupe, mes collants puis mon string… et là, une belle petite tâche de mouille qui c’étais déposée sur le coton rouge claire de mon string. Confirmation, j’étais bien excitée par
cette proposition.
Une fois nue, directement la douche ! L’endroit idéal pour réfléchir n’est-ce pas ? Eau chaude, bonne pression, et maintenant, c’est parti pour une discussion avec moi-même. J’avais pour idée de peser le pour et le contre de cette proposition dans ma tête, mais d’abord je devais comprendre, comprendre pourquoi cette proposition m’attirée autant. Jamais je ne me serais penser rien qu’un peu soumise, j’étais le genre de fille à ne pas vraiment me soucier de l’autorité, les profs, je ne l’es écouté pas vraiment, et même ma patronne me saouler dès qu’elle m’ordonner quelque chose. Alors pourquoi ? Pourquoi étais-je tant intéressée et intriguée par cette proposition, c’est comme si cet homme, en me faisant cette proposition, avait libéré mon côté soumise, et que ce côté de moi, aller prendre, de fil en aiguille, de plus en plus de place. En tout cas, c’est la seule explication un brun rationnel que j’ai trouvé.
Maintenant, et toujours sous la douche, je me devais de peser le pour et le contre. Déjà, bien sûr au niveau du pour, il y avait le côté financier, quel étudiant ne rêverait pas de 2500€ par mois ? Mais bizarrement, c’était loin d’être ma seule motivation. Je ne me reconnaissais plus dans mes pensées, au point que dans le côté « pour » venez des choses comme, appartenir à un homme, ne rien contrôler, être totalement soumise et dévouée, et un tas d’autres pensés de ce style. Je ne me reconnaissais vraiment plus, je ne sais pas si c’est déjà arrivé à quelqu’un d’autre, avoir le sentiment de changer du tout au tout en un instant, j’avais la tête toute retournée, mais j’étais heureuse de me sentir évoluée dans ce sens, et j’étais aussi très humide au niveau du minou… (Et ce n’étais pas que l’eau de la douche !). Bien sûr, il n’y avait pas que la partie « pour », je me penchée maintenant sur la partie « contre », il y avait déjà le fait d’être totalement privée de liberté, mais bizarrement, cela m’attirée quand même. Ensuite, l’autre partie qui ne me rassurée pas vraiment, c’était les pratiques, il m’avait bien précisé qu’il était Maître BDSM hard et sans tabous, alors à quoi m’attendre ? Et puis comme toute soumise débutante je pense, un tas d’autres questions flotté dans ma tête.
Ca faisait maintenant une bonne demi-heure que j’étais sous la douche, je me décida enfin à sortir, je me sécha, et était prête à envoyer un mail à Maître Claude, quand tout un coup me vint l’idée d’avoir un avis extérieur (qu’est-ce qu’on nous apprend pas en psychologie hein…). Mais à qui pourrais-je parler de cela ? Ma sœur ? Impossible, beaucoup trop coincée. Ma mère ? Déjà plus ouverte, mais je ne me vois pas tenir une discussion de la sorte avec elle. Ma meilleure amie ? En voilà une bonne idée ! Je saisis directement mon téléphone et l’appela. Manon, c’était ma meilleure amie, on se connaissait depuis le collège, et on avait partagé un tas de chose ensemble.
Après quelques ragots, et prise de nouvelles mutuelles, je me décida à lui en parler, et lui raconta tout l’histoire avec Maître Claude dans les moindres détails, de sa proposition au restaurant, à mes pensées sous la douche. Sa réponse ne fut pas à la hauteur de mes espérances… « Amandine, quoi qu’il arrive, je ne te jugerais pas, mais si tu deviens cette soumise dont tu me parles, je pense que notre amitié en prendra un coup », puis elle raccrocha.
Wahou… Je ne m’attendais pas du tout à cela, je me doutée qu’elle ne serait pas vraiment enchantée, mais à ce point… Bizarrement, perdre l’une des trois personnes qui compte vraiment à ce jour pour moi (les deux autres sont ma sœur et ma mère) ne me faisait limite ni chaud ni froid, et je restais quand même déterminée à envoyer mon mail à Maître Claude, peu importe l’avis de Manon !
J’allumai mon pc, me connecta sur gmail.com, sortie la carte de Maître Claude, que j’avais précieusement rangé dans mon portefeuille, entra son adresse, puis me mis à écrire. Voilà le mail :
Objet : Réponse à votre proposition.
Maître Claude,
C’est grâce à ce mail, que je vous informe que j'ai décidé d'accepter votre proposition, et je vous remercie énormément de me l'avoir proposé, c'est le genre de proposition qui change une vie, et je suis ravie que ma vie prenne se tournant, grâce à vous !
Bien sûr, ce n’est pas un oui définitif, j’attends de lire votre contrat, et j’espère de tout cœur que ça ira. J’ai bien sur un millier de questions dans la tête, mais je pense trouver pas mal de réponses à ces questions dans votre contrat, que j’ai hâte de lire.
Aussi, si en plus de votre contrat, vous avez quelconque question à me poser, n’hésitez pas, j’y répondrais avec plaisir.
Je vous remercie encore.
Respectueusement,
Amandine.
Voilà, plus qu’à attendre sa réponse… Je vérifiais mes mails toutes les deux minutes, dans l’espoir de voir la réponse, et d’enfin lire le contrat, mais rien pour le moment… Pour patienter, je naviguer sur des sites et des forums BDSM, certaines choses et pratiques que je pouvais voir et/ou lire était très hard, mais pour la plupart, ne me choquée pas, ou ne me dégoutée pas.
21h30, après trois bonnes heures d’attentes, enfin une réponse, j’ouvris le mail, qui contenait le message qu’il avait écrit, ainsi qu’en pièce jointe, le contrat sous Word.
A suivre…
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