chroniques-soumise

Tout a commencé un midi de Janvier dans le bar/restaurant de Lille dans lequel je travaillais. Avant cela, j’étais Amandine, une fille normale, 18 ans, étudiante en psychologie, vacant à mes occupations de jeune adulte étudiante, jonglant entre les études, les sorties entre amies, et mon boulot dans ce bar/resto pour boucler difficilement mon mois.

Avant tout, pour que vous vous fassiez une idée sur mon physique voilà, je suis une fille sans m’avancer plutôt jolie,
sans être un mannequin non plus, je mesure 1M67, pour 59kg, je suis brune avec des mèches blondes, je porte des
 lunettes, et j’ai une belle poitrine ronde et ferme.

Revenons-en à nos moutons… comme je le disais, il était aux alentours de 12H30 quand un homme, âgé d’une bonne cinquantaine d’année, vêtu d’un costume, et d’apparence très bourge est venu s’assoir à une table. Le restaurant ne faisant pas foule, et n’étant pas débordée, à peine il était installé à sa table, que je me précipitais pour l’accueillir, et lui proposer la carte. A mon accueil chaleureux, et une fois que je lui ai donné la carte, il me répondit juste d’un petit sourire. Pas commode, mais j’étais loin de me douter que cette homme aller changer ma vie à tout jamais. Une dizaine de minutes plus tard, je revins à sa table :

-« Rebonjour Monsieur, vous avez fait votre choix ? »

-« Oui Amandine (il avait lu mon prénom sur mon badge), ce sera un plat du jour, avec une bouteille de votre meilleur vin, et votre célèbre coupe de fruits en dessert. »

« Très bon choix Monsieur »

Je le servis, il dégusta, tout se passa comme avec un client lambda. Là où tout se chamboula, c’est au moment où je lui est apportez l’addition, je la posai sur sa table, en le remerciant d’avoir déjeuner ici, à sa il me demanda si je peux m’assoir à sa table, ce que je fis, nous n’avons pas le droit de dire non à un client dans l’enceinte du restaurant, c’est ce que nous répète constamment notre manager ! J’étais donc assise en face de lui, bien que perturbée, c’est la première fois qu’un client me demander cela.

-« Amandine, es-tu ouverte au point d’entendre une proposition assez indécente de la part d’un homme de 52 ans ? « 

-« Euh… oui allez-y » répondis-je assez hésitante, qu’allez t’il me proposer ? J’étais un peu en stress.

-« Alors voilà, je me présente, je suis Maître Claude, je suis DRH d’une grande entreprise ici sur Lille, et j’ai une proposition disons… hors du commun à te faire, tu es bien étudiante ? »

-« Enchantée, oui je suis étudiante en première année de psychologie à la fac de Lille, allez y oui je vous écoute »

-« Et je pari que tu as du mal à boucler tes fins de mois ? »

-« Euh oui » Je voyais la proposition d’escorting arrivé, qu’aurais-je répondu ? Oui ? Non ? Je ne sais pas, toute façon, la proposition allez être bien plus folle que cela.

-« Alors voilà ce que je te propose, tu n’es pas obligée de me répondre tout de suite, tu as le temps d’y réfléchir. Je suis très riche, et je suis aussi dominateur BDSM réel et sans tabous. Ma proposition, tu deviens ma soumise, à demeure et à temps complet, tes seuls moments de « liberté » seront tes horaires de cours, sinon tu m’appartiendras à 100%, selon mes règles, sans aucun tabous, et sous contrat. En échange, il te sera versait, sur un compte bancaire, 2500€ tous les mois, pendant tes 5 ans d’études, soit 150.000€ à la fin de t’es 5 années d’études. »

Que dire... à part que j’ai étais choquée par cette proposition, au point qu’un blanc d’une bonne vingtaine de secondes s’est créé le temps que je retrouve mes esprits. En même temps, j’étais choquée, mais je ne sais pas, la proposition à réveillée une face caché de moi-même, que je ne connaissais pas encore… L’Amandine soumise.

« Que dire… C’est une proposition qui demande à réfléchir... »

« C’est pour cela que je te laisses le temps, tiens, voici ma carte, quand tu y auras réfléchit envoie-moi ta réponse, si elle est favorable, je t’enverrais le contrat, que tu liras, et si il te convient, tu m’enverras un oui définitif, et là, on passera au chose sérieuse. »

Je pris sa carte, la glissa dans la poche de mon tablier et me contenta d’un « C’est noté Monsieur, merci Monsieur. »

Il se leva, et parti. Je le regardais marché jusqu’à sa voiture, il était assez grand, environ 1m85, assez gros aussi, mais pas obése non plus, les cheveux courts grisonnant, un physique qui n’aurait jamais attiré mon attention en temps normal, mais qui en tant que dominateur, à ma grande surprise m’attiré énormément, il avait tout à fait le physique du vrai dominateur…

Une fois qu’il fut rentrée dans son 4x4 Mercedes blanc, je repris mon service, avec cette proposition dans la tête, qui à ma grande surprise, me faisait pour l’instant, très envie.

A suivre…