Jeudi 10 mars 4 10 /03 /Mars 12:26

(Ce chapitre 8 est un peu particulier, mon Maître m’a autorisé à publier des photos de moi, vous allez donc découvrir mon corps, en même temps que lui l’a découvert en vrai ! Bonne lecture à vous tous !)

 

J’étais à ses pieds. Il avait retiré ses chaussures. Il portait des chaussettes noires et fines, je me sentais bien, à ma place dans cette position, à quatre pattes, le visage sur les pieds de mon Maître. De plus, dans cette position, ma jupe remonté, on voyait bien la couture de mes bas, et même un peu au-dessus ! Je pense que Maître Claude l’a bien maté !

 

Après une bonne quinzaine de minutes, Maître Claude ferma la télévision, et me mis un léger coup de pieds au visage, signe que je devais me redresser, ce que je fis directement.

 

« Soumise, il est maintenant plus que temps que je découvre ton corps, tu vas me montrer ce que tu caches derrière ta petite tenue de pute. »

 

Enfin ! Enfin j’allais m’offrir à lui physiquement ! C’était ce que j’attendais le plus !

 

Il m’ordonna de déplacer la table de salon, afin d’avoir de l’espace sur le tapis entre les canapés en U. C’est surement là que j’allais m’exhiber à lui. Je me relevai, et commença à bouger cette table, une belle table en verre, bien lourde !

 

J’eu du mal, Maître Claude ne m’aida pas, au contraire, il s’amusa de la situation, le sourire aux lèvres. M’enfin, après un petit moment de galère, j’avais réussi à déplacer la table de salon, laissant le tapis de sol totalement vide.

 

« Très bien soumise, rappelle moi de ne jamais solliciter  ton aide en cas de déménagement ! Maintenant, mets-toi debout sur le tapis, mains sur la tête. »

 

Ce que je fis directement, son petit pic sur ma galère à bouger la table ne me dérangea même pas, il avait raison, j’ai eu du mal à la bouger cette table. Avant, j’étais pourtant le genre de fille qui se vexer pour rien, maintenant je trouvais cela même plutôt agréable d’être humiliée par ce genre de petit pic.

 

« Maintenant, commence par retirer tes jolies escarpins » me dit-il d’un ton sévère. Je m’exécutai directement, puis il me demanda de les poser au sol sur le tapis. « Très bien, maintenant fou toi à quatre pattes, et commence par aller renifler l’intérieur de tes escarpins ! » J’étais maintenant à quatre pattes, telle une petite chienne je reniflais l’intérieur de mes escarpins que je portais depuis 14h. « Que sens-tu soumise ? » L’odeur était plutôt agréable, un léger mélange de chaussures porté toute la journée avec des bas en nylon, autrement dit une petite odeur de pieds, mais pas

nauséabonde, au contraire plus qu’agréable, mélangé à la senteur d’une chaussure légèrement neuve, c’était subtilement délicieux ! Je lui répondis donc que je sentais une agréable odeur de pieds mélangé à la senteur neuve d’une chaussure. Il apprécia et m’ordonna maintenant d’aller lécher la semelle. Heureusement, je n’avais ni marché dans un chewing-gum, ni dans la boue, il y avait sur ma semelle la poussière que l’on récolte en marchant en ville. Je léchai d’abord timidement avec le bout de ma langue, il ne fut que quelques secondes pour que Maître Claude me dise d’y aller plus franchement. Je pris mon courage à deux mains, et lécha à bon coup de langue ! La sensation n’était pas vraiment agréable, mais à ma grande surprise, elle n’était pas si déplaisante. Une fois les semelles de ma paire de chaussures complétement propre, Maître Claude m’ordonna de sucer le talon de mon escarpin « Suce comme si c’était ma queue » me dit-il. Je commençai par lécher le talon tout entier, puis le suça bien à fond, et sur toute sa longueur.

 

C’était agréable d’être humiliée comme cela, mais je n’avais qu’une seule hâte, goûté vraiment à son sexe. Après cinq bonne minute de suce sur mon talon, il me dit d’arrêtai et de me redresser a genou, ce que je fis.

 

« Très bien, tu es une bonne chienne, maintenant, tu vas retirer ton débardeur, j’ai très envie de voir tes seins qui se laisse devenir depuis le début de l’après-midi. »

 

Toujours à genoux, je retirai mon haut, que je posai sur le tapis.

 

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Mes seins étaient à sa vue, inutile de vous préciser que mes gros tétons roses pointés avec mon excitation. Il m’ordonna alors de me rapprochait, toujours à genoux, ce que je fis bien sûr. Il commença par peloter mes deux seins, et me complimenta sur leur forme, ainsi que leur taille. Il me dit qu’il l’es imaginait légèrement plus petit au vu de mon gabarit. 

 

Puis il saisit mes deux tétons, qu’il pinça assez fortement, puis tira dessus. La douleur provoquait par ces deux derniers gestes me fit extrêmement mouillée ! Je trouvais cela à la fois douloureux, mais en même temps tellement agréable ! Il n’y avait en tout cas plus aucun doute sur le fait que je sois maso ! Après s’être bien diverti avec mes seins, Maître Claude m’ordonna de retourna sur le tapis, ce que je fis dans le seconde.

 

Il m’ordonna maintenant de retirer délicatement ma jupe, ce que je fis, il me complimenta alors sur mes bas, ainsi que mon string. Ca me faisais très plaisir de recevoir des compliments de sa part, j’en étais plus que comblée, et ça me donné envie d’encore plus m’offrir totalement à lui.

 

« Met toi en position levrette maintenant grosse chienne, montre-moi tes belles fesses ! »

Immédiatement, je me tournai, et me mis dans la position voulu, mes fesses bien exhiber à mon Maître.

 

Sans titre4

 

Je cambrai le plus possible, le visage bien au sol, puis il m’ordonna d’écartais la ficelle de mon string, pour lui montrer

mon petit trou. Il apprécia le spectacle, un bon mélange de compliments, et d’insultes humiliantes, que demander de mieux ? Dans cette position, je n’avais qu’une seule envie, qu’il vienne me prendre sauvagement le minou en levrette, mais ce ne fut pas le cas.

 

Il me laissa assez longtemps dans cette position, plus les secondes passer, plus j’avais espoir de le sentir entrer en moi.

 

Malheureusement, après de bonnes minutes, il m’ordonna de retirer mon string, et de me mettre sur le dos. « Je veux voir ta belle petite chatte de pute » me dit-il sévèrement.

 

Je retirai donc mon string, puis me mis sur le dos, les jambes biens écartés bien-sûr.

 

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Il examina mon intimité, cela m’exciter. Je me demandais où était l’Amandine qui étais gênée de se mettre nue chez le gynécologue, ou même dans les vestiaires après le sport. Elle était bien loin, et c’était tant mieux !

 

Inutile de vous dire qu’il remarqua que mon minou était un vrai ruisseau tellement j’étais mouillée, il me dit donc « Je vois que tout ça t’excite bien petite chienne, c’est très bien ! » Puis il me fit une remarque, il me dit qu’il était heureux que j’aie un gros clito, qu’il préférait cela au tout petit clito de son ancienne soumise.

 

Il me demanda ensuite de lui donner mon string, pour qu’il examine cela de plus près. Je lui donnai, bien que gênée, il était trempé, j’avais rarement autant souillée un string de ma mouille ! Il le prit, le toucha, le regarde de près et fus lui aussi surpris par toute la mouille que j’avais laissé dedans ! Il m’ordonna donc de nouveau de me rapprochai de lui, à quatre pattes. Une fois près de lui, il me demanda d’ouvrir la bouche bien grande, ce que je fis, et il y glissa dedans mon string souillé qu’il avait mis en boule. « Tu la sens bien ta mouille la ? Aller retourne sur le tapis maintenant ! » Je lui fis un signe oui de la tête, et retourna sur le tapis. La sensation du string dans la bouche était plutôt agréable.

 

Il ne me restait que mes bas, je pensais que j’allais les garder pour le reste de la soirée, mais non, Maître Claude me dit : « Tu vas maintenant retirer tes bas, mais attention, de façon streap tease, alors met toi debout, et applique toi ! » Il saisit une télécommande, et activa sa chaîne Hi-Fi, la célèbre musique de streap tease (dont j’ai oublié le nom et l’auteur, punissez moi tous LOL !) retentis dans la pièce. Je n’étais pas vraiment à l’aise, je n’avais jamais fait cela, et encore moins uniquement pour des bas. Je n’étais pas douée en danse, encore moins en danse sensuel, et faire cela avec un string en boule dans la bouche rempli d’une grande quantité de mouille était d’autant plus humiliant.

 

Bon… Il faut que je me lance, j’essayais de reproduire un streap que j’avais vu récemment à la télévision sur la même musique, imitant la danse de cette charmante jeune femme qui faisait cela avec une aisance déconcertante. Je retirai délicatement le bas droit entre ma pseudo danse sexy, puis le bas gauche. Je posai la paire délicatement sur le tapis,

puis Maître Claude stoppa la musique. Il avait le sourire aux lèvres, avais-je réussi mon streap tease ? Ou était-ce

tellement ridicule qu’il ne pouvait avoir que le sourire aux lèvres ? Je n’ai moi-même pas la réponse !

Montre-moi tes jolies pieds maintenant me dit-il.

 

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Il apprécia et me complimenta sur mon vernis, il avait l’air d’aimer les pieds !

 

Pour conclure cette belle exhibe, Maître Claude me dit qu’il était content de mon corps, et qu’il était ravi que mon corps

lui appartienne, et qu’il n’allait pas tarder quand même à déjà y faire quelques modifications. De quoi parlait-il ? Je n’osais pas lui poser la question, et toute façon, je ne pouvais pas, le string dans ma bouche, me servait aussi de bâillon.

 

« Revient à mes pieds maintenant soumise, la soirée n’est pas encore fini ! »

 

Que m’avais t’il réserver pour cette fin de soirée qui avait formidablement commencé ? J’avais hâte de le découvrir !

 

 

 

 

 

 

 

 

A suivre…

Par chroniques-soumise - Publié dans : Chronique
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